Le Pr PERRONNE méritait il d’être démis de ses fonctions de chef de service ?
Voici une question d’importance que pose Le Figaro Magazine dans un article publié le 15 janvier 2021, et que se posent des milliers de Français : L’article du FIGARO MAGAZINE, pose des questions essentielles concernant les différentes prises de parole du Pr PERRONNE qui lui ont valu d’être sanctionné par l’AP-HP :
1. « La liberté d’expression, si énergiquement défendue par les plus hautes instances de l’État en matière de laïcité, ne s’applique-t-elle pas aux médecins, dont la liberté de débattre est un droit ancestral? »
2. Dans le cadre du débat sur l’utilisation de l’hydroxychloroquine comment peut- on reprocher au Pr PERRONNE de contribuer à un débat épidémiologique qui devrait en principe rester ouvert? et peut-on lui reprocher « de dénoncer une série d’études qui concluent à l’inefficacité de l’hydroxychloroquine, et d’en mentionner l’un des coauteurs.» ?
3. Peut-on lui reprocher de s’exprimer dans le documentaire « HOLD UP » alors qu’il ne «s’y cantonne qu’à son domaine d’expertise, celui d’un débat médical » sur l’hydroxychloroquine ? »
4. Comment « un jeune médecin Nathan Peiffer-Smadja », qui
« mène une guerre personnelle via Twitter contre Le Pr. PERRONNE depuis le mois de juin dernier » peut- il se dire victime de menaces de mort en rendant responsable le Pr PERRONNE ? En effet, le FIGARO MAGAZINE souligne que Nathan Peiffer-Smadja avait porté plainte contre X le 16 septembre 2020 pour ces
menaces de mort . Il est alors facile de comprendre que le Pr PERRONNE « n’a rien à voir avec ces menaces, il a simplement mentionné le nom du Dr Peiffer-Smadja dans une émission du 31 août sur RMC et il a mis en cause la qualité de ses analyses dans le documentaire sur Hold-up diffusé le 11 novembre, sans y attacher de commentaires personnels», comme le commente son avocat, Me Thomas Bénagès.
5. Comment reprocher à cet homme, compétent et d’expérience, ses propos sur les vaccins alors que, comme il le dit lui-même : «J’ai été vice-président à l’OMS du conseil des vaccins pour toute la zone Europe, et j’ai toujours défendu la vaccination ; en décembre, j’ai émis un doute sur l’emballement à propos d’un vaccin dont on n’avait pas encore suffisamment testé la robustesse, nous dit-il. J’ai ajouté qu’avec un virus dont le taux de mortalité est faible - soit 0,5 % -, ce n’était pas la peine de vacciner tout le monde mais seulement les populations à risque.» ?
L’article du FIGARO MAGAZINE intitulé « Le provocateur » nous montre ainsi que la provocation, quand elle vise à faire entendre une voix discordante dans le monde médical, peut être une vertu !
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/le-provocateur-pr-christian-perronne-meritait-il-d-etre-demis-de-ses-fonctions-20210115Article payant sur le journal
Le Figaro Magazine